Finalement, un vélo pour 29 Euros, voire même un simple euro avec un abonnement à la journée, ce n’est plus un Decaux, c’est un cadeau.

Je ne sais pas combien de cautions de 150 Euros ont déjà été prélevèes par les services Velib mais le nombre de vélos sortis du circuit de partage semble être en train d’exploser.

Pourquoi ne pas prévoir un système simple permettant de faire part des anomalies, de libérer les vélos pris en otage ? Un simple formulaire permettant de donner le numéro du vélo et l’adresse de la séquestration permettrait d’en libérer un grand nombre. Une option tentante serait de rendre public l’identité de la dernière personne à l’avoir décroché. Bien sûr gênant en cas de vol. Mais normalement un vol cela se déclare . . .

J’y pense chaque jour, sur le chemin de l’école en voyant le 6632 accroché devant le 185 rue de Javel, le guidon penché, comme s’il était triste d’avoir ainsi été abandonné . . .