Un article du Nouvel Economiste du 25 juin rassemble les informations sur la situation financière de l’état français, à partir des éléments certifiés par la cour des comptes, et tente une comparaison osée avec le fonctionnement d’une entreprise.

Gloups. Avec une « exploitation structurellement déficitaire » et un « endettement démesuré »  l’action d’une telle entreprise ne vaudrait plus grand chose . . . Mais bon, il ne faut pas le crier trop fort sur les toits, sinon l’emprunt Sarkozy risque de ne pas avoir grand succès.

Une autre comparaison avec l’entreprise me laisse rêveur aussi. Imaginons que le patron d’un grand groupe du CAC 40 décide du jour au lendemain que la DRH va s’occuper du marketing, que le directeur technique va prendre en charge les aspects juridiques pour laisser sa place à la chargée de communication remplacée par le directeur financier dont le fauteuil revient à l’homme du marketing. Pas certain que cela ferait monter ses actions en bourse . . .