Curieuses questions qui se posent autour de la légalité des primaires organisées par le parti socialiste (et pourquoi pas les mêmes questions sur les primaires d’autres partis ?).

Encore un petit effort et on va se retrouver avec un nouveau président élu (ou présidente ?) dont la validité de l’élection sera remise en cause par le président sortant qui s’accrochera à son fauteuil en refusant de reconnaître le nouvel arrivant en remettant en cause le mécanisme primaire à l’origine du choix de son trop heureux concurrent. Cela ne vous rappelle pas un certain pays africain ?

Heureusement, par contre, pour ce qui est des gouvernements nous n’avons pas le même souci que nos voisins belges. Au moindre souci, hop ! on en a aussitôt un autre tout beau et tout propre.