C’est le titre d’un dossier dont la lecture me laisse une drôle d’impression dans le nouvel économiste. Un dossier spécial web2.0 dans lequel les termes négatifs utilisés semblent l’emporter : égoïsme, individualisme, nouvelle fracture numérique, dislocation contrat social, calomnies… Seule les entreprises sembleraient y trouver leur compte : fidéliser, mieux connaître sa clientèle. Curieux pour un journal dont le sous titre est « le journal des pouvoirs d’aujourd’hui ». Même sans les avoir tous lus, je suis certain que les auteurs dont les livres sont cités en appui (Jean-François Gervais, Thierry Maillet, Thierry Couzet…) n’ont pas une vision aussi négative de la situation.

Au fait, un rapide tour sur le site du nouvel économiste fournit peut être un début d’explication. On y annonce seulement le lancement prochain d’un blog sur le site. Pour le moment on a juste le droit de donner son email pour se tenir informé. En retard et un tout petit peu jaloux de façon inconsciente le nouvel économiste ? C’est pas grave, je leur fais de la pub quand même…