je ne suis pas toujours d’accord avec les sorties tonitruantes d’Hugo Chavez, qui frôlent souvent l’extrémisme. Mais comment ne pas être sidéré par son sens du raccourci présent dans son discours à Copenhague :
« si el clima fuera un banco los gobiernos industrializados ya lo habrían salvado ».
« Si le climat était une banque les gouvernements des pays industrialisés l’auraient déjà sauvé. »
Le pire c’est qu’au lieu de cela, on est en train de mettre en place des agences et des banques qui seront chargées de sauver le climat. Et qui dit flux financiers dit aussi profit, commission, corruption potentielle…
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