Quand on monte sur le Mont Lozère puis que l’on descend en admirant la vue à partir du belvedere des bouzedes, on comprend assez bien pourquoi le 3G ne peut pas encore passé dans chacune de ces belles petites vallées. On distingue nettement l’ombre de chaque nuage et pour un peu on verrait presque la mer, là bas tout au fond . . .
Cela vaut aussi le coup d’aller visiter la maison des mineurs, à la Grand Combe, car on la chance de contempler une des dernières salles des machines d’un puit d’extraction ayant échappé à la ferraille. Le tambour sur lequel s’enroule les cables de plus d’un kilomètres (le puit Ricard descendait à plus de 800 mètres) doit faire au moins 6 à 7 mètres de diamètre. Le moteur qui l’actionne, à courant continu, est couplé sur le même axe. Au premier plan on voit les freins et dans le fond la guerite à partir de laquelle un homme activait tout cela avec 2 manettes seulement!
Il fallait que ca tienne, car ce sont des wagonnets mais aussi des hommes et des chevaux qui descendaient dans le noir vers les galeries de mines, à la vitesse de 10 mètres par seconde dans ces drôles de cages à plusieurs étages :
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