lu dans le Monde (article d’Herve KEMPF) :
Alors que les chefs d’Etat et de gouvernement sont attendus au siège des Nations unies, mardi 22 septembre, pour tenter de débloquer la négociation climatique, le secrétaire exécutif de la convention climat, Yvo De Boer, a reconnu que le texte de 200 pages aujourd’hui sur la table était « un foutoir absolu, qui ne faisait aucun sens ». A tel point que les traducteurs ont annoncé qu’ils étaient incapables de le traduire.
Le genre de constatation qui me met en colère quand on sait qu’il existe des solutions pour travailler autrement. Quand aura-t-on compris que sur des sujets aussi importants pour notre planète, de plus lors de négociations multiculturelles, il faut arrêter de travailler sur des documents au format texte, linéaires et inutilisables à partir d’un certain volume, pour se tourner vers d’autres techniques telles que les cartes d’idées. Je vous en supplie, sur des sujets comme ceux là on a vraiment besoin de nos deux cerveaux ! et c’est justement un des avantages des cartes d’idées que de favoriser leur collaboration !!Scrrrgneugneu… il faut vraiment que je me depêche de finir mon bouquin sur le sujet, pour montrer la puissance de ces concepts pour faire travailler les groupes. Là plupart des livres traitant de ce sujet se sont hélas concentrés sur une utilisation individuelle.
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