Après une journée de samedi passée à travailler en groupe pour tenter de faire avancer des projets associatifs, surmonter les difficultés de compréhension et les différences de point de vue, un jeux de mot me trotte dans la tête depuis mon réveil ce matin. Lancinante voire obsédante, j’espère qu’en vous livrant cette phrase je vais m’en débarasser !

« Il reste bien peu de temps pour travailler sur des problèmes concrets
quand on le gaspille à travailler sur des problèmes qu’on crée »