Est-ce une bonne idée de prendre le nom de Grenelle pour parler de la négociation à venir sur les problématiques de l’environnement ? Je ne suis pas très fort en histoire et en 1968 mes lectures étaient plutôt orientées vers les Jules Verne que vers les journaux comme Le Monde ou Les Echos. Et nous
Le Grenelle de l’environnement est seulement en train de se mettre en place. Mais les premières difficultés sont déjà là pour composer les groupes, délimiter les sujets. On commence aussi à parler des méthodes de travail, sans aller apparemment jusqu’à définir les techniques d’animation de ces groupes de travail. Cela serait vraiment dommage pour un
4 extraits de conférence passionnants sur les pages débats « L’homme dans des conditions extrêmes » du Monde du 19 Juillet. Je ne peux pas m’empêcher, une fois de plus, d’enlever mes lunettes pour voir de loin ces 4 articles côte à côte, chercher les points communs et les différences. L’équipe de rédaction, et l’université de tous
Au cinéma ce soir, « dialogue avec mon jardinier ». Un petit film et des dialogues touchants. La nature, la simplicité, la province, la joie de vivre naturelle. Ca donne forcèment envie d’avoir aussi une grande maison comme celle là au milieu d’un jardin pour y faire pousser ses légumes . . . Le paradoxe reste que
La presse parle encore des débats pour avoir le droit de baisser la TVA sur certains services de proximité. Et ce n’est pas sûr que ca passe. Comment se fait-il qu’on n’ait pas eu la moindre information sur le fait que les frais bancaires sont maintenant hors TVA ? Pas un taux réduit, non, plus
Toujours surprenant de tenter un rapprochement sur plusieurs articles d’une même page , par exemple la page environnement et sciences du Monde de jeudi 5 Juillet. En bas de page Mathieu Rached rend compte de l’article de PNAS sur l’étude de Marina Fischer-Kowalski : l’homme s’approprie un quart de l’énergie des écosystèmes. Il cite aussi
Voyageur dans le train entre Orleans et Paris, prenez le temps de regarder à droite et à gauche pour voir à quelle vitesse le vent peut faire voler les modes technologiques. A droite, le reste des superstructures de l’aérotrain de l’ingénieur BERTIN, encore bien visibles sur plusieurs kilomètres. Technologie abandonnée depuis des décennies mais dont
Babcha est partie. Babcha cela veut dire grand mère en polonais. Une vraie grand mère, du genre de celles qui font tout leur possible pour mettre sur la table les 10 plats préférés, même si le week end que l’on vient passer chez elle ne comporte que 4 repas. Quelle drôle d’idée de lui consacrer
