La troisième édition de VIVATECH. Déjà. Peut être suis je passé trop vite, mais j’ai eu un peu l’impression que l’on retrouvait les mêmes grands groupes et les mêmes startups. Une idée pour la prochaine édition : mettre en évidence sur le plan et le programme les startups qui n’étaient pas là l’année précédente. Cela devient aussi compliqué de s’y retrouver au milieu des stands, à tels points que les Executive Tours se multiplient. Parfois un peu l’impression d’être en train de visiter le centre historique d’une grande capitale car l’on y croise des groupes devancés par des guides portant des parapluies de couleur ou des petits drapeaux. A Vivatech se sont des panonceaux un peu plus discrets et les guides ont intérêt à être très bien équipés côté micro et casques sans fil pour leurs troupes : pas évident d’exister au milieu des sonorisations de stands.

VIVATECH EXECUTIVE TOURSLe LabRH, dont LEDIAG fait partie, avait choisi une autre solution pour faciliter le repérage des startups adhérentes : 4 grandes types de fonctionnalités avec des parcours à travers le salon repérés sur un plan dédié. Car les startups travaillant sur le recrutement, par exemple, peuvent aussi bien se trouver dans le village LabRH, que sur le stand de la région qui les héberge ou celui du grand compte avec lequel elles ont noué un partenariat.

En cherchant bien, on tombe sur de drôles d’objets qui sortent un peu du mode Saas. Ainsi le HOMEBIOGAS visible sur le village ENGIE. La startup israëlienne propose un biodigesteur qui permet de transformer les déchets organiques en gas de chauffage et engrais. Le projet va manifestement dans le sens du Développement Durable et on peut se demander pourquoi il a fallut si longtemps avant de voir un tel produit !

HOMEBIOGASUne mention spéciale humour pour la Suisse qui a choisi de réunir dans sa « Swiss Volière » des modèles de drônes sophistiqués et . . . de bons vieux coucous suisses. Pas certain que l’humour ait été perçu par les générations Y mais les séniors au moins ont eu le sourire aux lèvres. D’ailleurs le petit robot semble bien pensif. Son IA ne doit pas lui permettre de comprendre ce que font les petits chalets au dessus des drônes !

Bon, personnellement j’ai aussi été très heureux que HPE me permette de garder une trace photo de ma première sortie dans l’espace. Photo prise juste derrière la réplique échelle 1 d’un bout de l’ISS dans lequel ont été embarqués les calculateurs HP